Dans la perspective de l’organisation du One Forest Summit que le Gabon va accueillir les 1er et 2 mars prochain, les décideurs politiques et spécialistes de l’environnement doivent se surpasser pour répondre de manière efficace, aux exigences qu’imposent l’augmentation actuelle de la température globale, la perte massive de la biodiversité et la pollution des écosystèmes. Trois grandes préoccupations majeures qui mettent sous cloche, l’avenir de l’humanité.
Au Gabon, les autorités se bousculent pour l’organisation du One Forest Summit que le pays va co-organiser avec la France les 1er et 2 mars prochain. Dans les bureaux feutrés de la présidence de la République, du ministère des Affaires Etrangères et de celui des Eaux et Forêts, on s’arrange à ce que tout soit parfait pour accueillir le parterre des hôtes venus d’ailleurs à l’occasion de cet évènement.
Le moment est crucial. Tout comme les enjeux autour avec en ligne de mire, la nécessité de créer des dynamiques en matière de connaissance et suivi des écosystèmes forestiers, de lutte contre les zoonoses à travers les forêts, de valorisation des crédits carbone à haute valeur écologique, d’identifier des mécanismes innovants de financements de la conservation, de soutenir les chaînes de valeur durable notamment dans la filière bois de construction, l’agroforesterie ou encore les cosmétiques à travers des partenariats d’entreprises et de valoriser les savoirs endogènes et promouvoir le renforcement des capacités locales.
La rencontre de Libreville qui enregistrera la participation d’experts de renoms dans le domaine de l’environnement, des décideurs politiques et du monde des affaires sera le moment de jeter un regard sur les trois grands maux qui préoccupent l’humanité. A savoir : l’augmentation de la température globale, la perte massive de la biodiversité et la pollution des écosystèmes qui constituent des préoccupations environnementales majeures pour l’humanité. Grâce aux synergies rendues possibles par le Sommet de Libreville, l’humanité compte bel et bien affronter les défis de son siècle en trouvant les solutions idoines. Ce, d’autant plus que « les forêts à elles seules symbolisent cette inadéquation entre la réalité de nos actes et les alertes sans cesse répétées de la science depuis 50 ans. »
A Libreville, ce sera peut-être l’occasion pour les politiques de réajuster la trajectoire de l’humanité.
Séraphin Lame
Je suis mademoiselle Assengone Himelda, juriste /anthropologue, je suis intéressée par des questions concernant l’enjeu de la biodiversité, à mon avis s’il faut Freiner Les risques de la perte de la biodiversité, cela doit commencer par élaboré un code qui régit toute cette biodiversité, Tout en mettant des droits et des obligations Sans oublier les sanctions en cas du non respect