Alors que Libreville va accueillir dès jeudi 21 juillet, l’événement du Chatham House sur la finance verte en Afrique, Marc Ona Essangui, Dr. Honoré Tabuna, Prof. Lee White et Georges Akwah Neba représentant la société civile, les pouvoirs publics et organisme international, label de certification ont été annoncés comme panélistes dans le cadre de cet évènement.
Faisant partie d’une série d’évènements intitulés “Vers une transition juste : Relier le financement vert et la création d’emplois durables en Afrique” et soutenue par l’accélérateur de durabilité de Chatham House, la rencontre multi-format de Libreville offre l’occasion de revisiter le rôle de la finance dans le processus de transition verte.
En effet, « les participants à cet événement (…) discuteront du financement vert pour les solutions basées sur la nature, en particulier l’intégration des plans de création d’emplois dans la conservation et la résilience rurale dans la planification de la transition juste. »
Pour la circonstance, Marc Ona Essangui, Secrétaire exécutif de Brainforest, Dr. Honoré Tabuna, Commissaire à l’Environnement, Ressources naturelles, Agriculture et Développement rural à la CEEAC, Prof. Lee White, ministre des Eaux et Forêts et Georges Akwah Neba Coordonnateur du FSC Bassin du Congo vont, avec d’autres invités, se relayer pour discuter des questions traversables touchant le domaine de l’environnement.
Le choix de ces acteurs ne semble pas anodin. Pris dans leur compartiment d’action pour la cause environnementale, chacune de ces figures agit pour rendre concret les politiques de résiliences écologiques que tentent d’impulser les décideurs à travers la planète, agir contre les dérives, tout en se positionnant comme des partenaires stratégiques. Ces acteurs interviendront sur des thématiques touchant aussi bien la finance climatique que la protection de la nature, la création d’emploi ou encore celle des populations. Lors de cet évènement, ils donneront un nouveau souffle aux politiques climatique mondiales par « la nécessité de créer des emplois décents et équitables et de mettre en place des politiques résilientes et durables de gestion des terres, de l’environnement et des écosystèmes. »
Séraphin Lame